Comme l’exprime le curé de la paroisse Saint-Louis-deFrance, le père Ziad Maatouk, « c’est avec beaucoup de fierté et de joie que nous clôturons ensemble l’année jubilaire de notre paroisse. La fierté découle de tout ce que nous avons accompli depuis les 50 dernières années et nous sommes fiers de la vision qui a nourri notre communauté dans son quotidien.»
Plus de 160 fidèles dont plusieurs familles pionnières de Saint-Louis-de-France se sont retrouvés le 28 octobre dans une salle de banquet à Thornhill pour célébrer la dernière activité de l’année du 50e anniversaire de la paroisse, événement commandité en grande partie par le Conseil scolaire catholique MonAvenir.
Au programme, pas de longs discours ni de présentations spéciales mais plutôt un bon repas et de la musique d’ambiance. Le père Maatouk désirait que la soirée soit une célébration de l’apport de tout un chacun au succès de cette église.
« Je suis fier d’appartenir à une paroisse qui ne se fatigue pas d’être un phare dans une société qui a toujours besoin de lumière. Fier de notre contribution dans la construction du Royaume de Dieu à travers les différentes célébrations liturgiques et sacramentelles. Fier d’appartenir à une famille de foi où tout le monde se sent accueilli et apprécié. Fier de prier et célébrer en français. Fier des ouvriers de la première heure à Saint-Louis-deFrance, fier de tous les bénévoles qui ne cessent aujourd’hui de continuer cette tradition de générosité, d’engagement, de charité et de don de soi à l’exemple de Jésus qui s’est donné pour nous. Comme nous clôturons l’année jubilaire, j’aimerais avec vous et devant vous remercier tous ceux et celles qui ont travaillé et contribué à la réussite de cette année extraordinaire », dit-il.
Le comité organisateur de ce gala était composé de Claudette Blais, Philippe Soulodre (qui agissait également à titre d’animateur de la soirée avec Lorraine Saint-Onge), Marie-Jeanne Karake, Marlène et Georges Litinpo. Il avait invité la violoniste Carolina Herrera à jouer pendant que les invités s’installaient dans la salle. Jean-Noël Li était le DJ attitré pour l’occasion. Il a également interprété quelques chansons populaires en s’accom
pagnant à la guitare.
Après le souper, le père Jean Al Alam a récité la prière du jubilé dans laquelle il est souhaité que les paroissiens d’hier et d’aujourd’hui soient des ambassadeurs de Dieu pour semer la culture de l’espérance. Plusieurs tables avaient été réservées par des fidèles qui étaient là en 1967, au début de la paroisse.
Il s’agit des familles Bourdage, Arseneault, Dionne, Gallant, Sauriol et Soulodre. Des prix de présence et un séjour de deux nuitées à Niagara Falls ont fait l’objet de tirages. Bref, un gala où l’objectif principal était de s’amuser et de démontrer sa fierté d’appartenir à la grande famille catholique de la paroisse Saint-Louis-de-France.
Photo : le père Jean Al Alam (à gauche) avec une tablée de paroissiens.