Poursuivant l’application de sa version du programme Nouveaux Horizons, le Cercle de l’Amitié recevait, le 20 octobre dernier, l’avocate Marie-José Beauplan-Mann dans le cadre d’un atelier sur les testaments et les successions.
Suivant une formule bien établie, les gens sont arrivés assez rapidement vers 12 h 30. Bien qu’un noyau de participants revienne à chaque session, quelques nouveaux visages s’ajoutent régulièrement au groupe. Ils étaient accueillis par les mélodies du pianiste Will Louis, qui bercera également l’heure du repas de sa musique. Après avoir diligemment servi l’entrée, Mireille Coulombe-Anifowose, présidente du Cercle de l’Amitié, s’est adressée un bref instant à l’assistance composée d’environ 25 personnes pour leur donner quelques indications générales quant au déroulement de l’activité. Fidèle au mandat de ce programme, le Cercle a offert un repas santé dont le plat principal était un pâté à la dinde et aux légumes. Une des caractéristiques des dîners offerts dans le cadre de Nouveaux Horizons réside dans la substitution d’ingrédients sains aux ingrédients traditionnels, parfois trop gras ou trop sucrés.
C’est après le repas que Me Beauplan-Mann a commencé sa présentation. Résumés en des termes simples, les concepts généraux de patrimoine, d’héritiers légaux, de capacité de tester, etc. ont été passés en revue. Les divers types de procuration ont été expliqués par Marie-José Beauplan-Mann, qui a aussi décrit ce qui peut se passer au décès d’une personne qui n’a pas de testament, c’est-à-dire les conflits qui peuvent naître de cette situation ou comment le gouvernement peut parfois prendre la gestion de la succession. Divers autres sujets ont été abordés et l’assistance avait bien des questions.
Après la présentation de Mme Beauplan-Mann, les participants ont échangé avec Patrick Boily, coordonnateur des services en français au RLISS Centre-Ouest, à propos des questions liées au vieillissement de la population. Conclue en milieu d’après-midi, l’édition du mois d’octobre de Nouveaux Horizons aura donc permis à ceux qui y ont assisté d’en apprendre davantage et de faire entendre leur voix.
Photo : L’atelier de Me Marie-José Beauplan-Mann
